: Note de l'auteur
« Je rêve d’un texte qui règle son compte (non pas définitivement puisqu’on n’en finit jamais, du moins, radicalement) à l’homme de guerre, cet éternel masculin. Parole d’une femme, libérée autant qu’il se peut du dolorisme que lui assignent des conventions millénaires, paroles dressées en invective brutale et sans rémission face à la merde (il faut ici un mot net et absolu) du meurtre perpétuel. Stabat mater furiosa donc, et non point dolorosa… Je rêve d’une parole dont on ne se remet pas, non en raison de sa violence mais parce qu’elle porte en elle une évidence sans réplique. »
Jean-Pierre Siméon
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