: Notes de travail du compositeur
Humour, musique ludique, ironie, fête, danse, mélodie et voix mozartienne : c’est à partir de ces idées-là présentes déjà dans ma musique que j’aborde mon premier opéra avec Copi.
Un opéra bouffe, c’est-à-dire un genre à réinventer dans la production actuelle de l’opéra contemporain français.
Une formation instrumentale de chambre d’une dizaine de musiciens : une manière souple de monter et -redonner- mon opéra. Ainsi, des saxophones, une guitare basse, des percussions de danses populaires d‘Amérique du sud, un accordéon viendront se rajouter à l’ensemble TM+. Avec la direction précise et lyrique de Laurent Cuniot.
Une forme concise avec une heure de musique sans entracte : des arias, des duos, des quatuors vocaux, du chahutage et de la joie dans l’écriture vocale…
Et puis évidemment les voix : 2 voix de contre-ténors et deux voix de femmes. Contraste, équilibre, opposition, travestissement des voix. Des personnages fous et fous d’eux-mêmes, à moins que cela soit un seul et même personnage à multiples facettes ?
La mise en scène d’un frère des planches : Jean-Christophe Saïs.
Enfin le rythme et la pulsation des pièces de Copi : irrévérencieux, trépidant, tragique mais solaire.
Régis Campo
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