Par Bénédicte Forgeron Chiavini
lundi 12 novembre 2018
Marivaux met en lumière l’artifice et dit avec un raffinement exquis les méandres du sentiment. Sa légèreté cache une extrême gravité et une réflexion sur l’ambiguïté et la violence des relations sociales. Ainsi, dans Le Prince travesti, la suivante et la princesse sont amoureuses du même homme mais la raison d’État prendra le pas sur
les affres des passions. Au cœur de ce palais-prison labyrinthique, tous se perdent et s’espionnent, brouillent les cartes et éprouvent la difficile acceptation de leurs désirs, tromperies et pouvoirs. Capable de l’humour le plus incisif...
Par Bénédicte Forgeron Chiavini
lundi 12 novembre 2018
- ville non précisée -
Le
mardi 06 novembre 2018
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Théâtre d'Angoulême En partenariat avec Le Méta - Centre dramatique national de Poitiers |
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Le 04/04/2019
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La Maison |