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Habitations

+ d'infos sur le texte de Philippe Minyana
mise en scène Edith Scob

: Le metteur en scène

A propos d'HABITATIONS


Habitations est la dernière pièce de Philippe Minyana.Une complicité de presque vingt ans nous lie.


1. 1981 : Enregistrement de Fin d'Eté à Baccarat pour Radio France
2. 1984 : Exposition au Théâtre Essaïon Ce texte donne lieu à une émission de radio où la parole brute de spectateurs interviewés alterne avec le texte de la pièce.
3. 1986 : Inventaires écrit à partir de trois interviews de femmes pour trois actrices : Judith Magre, Florence Giorgetti et moi.
4. 1994 : Festival d'Avignon, je monte Où vas-tu Jérémie ?
5. avril 1999 : Philippe Minyana, Fabien Rigobert, photographe, Gaëtan Vourc'h, acteur et moi, magnétophone et appareil photo sous le bras allons interviewer Gilles Dulucq, " commercial " de chez Adipak.
Philippe a déjà écrit un texte inspiré par l'actrice Jany Gastaldi, un autre inspiré par les cinq meurtres du faux Docteur Romand, texte écrit pour Christophe Huysman.


Il s'agit de trois types de narrations différentes interrogeant l'écriture dramatique. Ses limites, sa relation au réel -et posant aussi très directement la question : Qu'est-ce qu'un auteur ? Qu'est-ce qu'un acteur ? Comment rendre compte d'aujourd'hui ?


Je voudrais dans cette mise en scène continuer à poser des questions. Différencier le plus possible les trois " histoires " tout en faisant se côtoyer le vrai, le faux, l'artifice, la clownerie, la tragédie, le noble, le trivial, l'unité, la multiplicité, le représentable, le cru, le cuit.
-Trois esquisses, dessinées à la craie sur un tableau noir. Chaque dessin est effacé pour laisser place au nouveau mais il resterait des traces des esquisses précédentes.
-Des mêmes éléments circuleront dans les trois parties du spectacle. (Manuscrits, cahiers, prospectus, photos de famille, de maison, coupures de journaux etc...)
-Que dans un coin de la scène comme une basse continue en musique, une histoire parallèle se déroule, une succession de photos de vacances, de bonheur. Ce vers quoi on aspire.
-Je voudrais le spectacle léger, minimaliste, à la limite de la représentation, à la lisière de ce qu'on appelle l'art et ce qui ne l'est pas.


Edith Scob, septembre 1999.

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