Distribution
Présentation
Opérant un mouvement de balancier entre tradition et modernité, mais aussi entre Japon et Brésil, Marcelo Evelin interroge en s'inspirant du butô la notion de danse comme symptôme.
Danser comme on balbutie, comme des figures curieusement désarticulées en quête d’une forme possible. Syllabes incomplètes, les corps tâtonnent dans l’indicible. Il y a dès les premiers instants de Dança Doente un aspect embryonnaire comparable à l’effervescence d’une soupe primordiale observée au microscope. Les danseurs qui s’y meuvent, à la fois collectivement et séparément, pourraient aussi bien être des bactéries ou des microbes.
En intitulant ce spectacle « Danse malade » (traduction de Dança Doente), le brésilien Marcelo Evelin se réfère à Tatsumi...