AgoraVox
mercredi 03 février 2016
Par Orélien Péréol
Une fête théâtrale pour un texte tragique et délirant, un peu trop fléché vers son but, avec détours et méandres, amplifiés par les options scéniques d'Omar Porras, cahotantes et trébuchantes, colorées, sonores, un peu trop esthétiques et disgracieuses aussi, Dieu merci....