Le Clou dans la planche
mardi 12 avril 2016
Par Manon Ona
Dans ce format supposé plus dense, la réplétion formelle passe vite pour une tentative de séduction tape-à-l'œil, celle d'un théâtre aux airs de blockbuster, qui redoute d'ennuyer....
France
Le Clou dans la planche
mardi 12 avril 2016
Par Manon Ona
Dans ce format supposé plus dense, la réplétion formelle passe vite pour une tentative de séduction tape-à-l'œil, celle d'un théâtre aux airs de blockbuster, qui redoute d'ennuyer....
Les Trois Coups
vendredi 22 janvier 2016
Par Léna Martinelli
Thomas Jolly, la nouvelle coqueluche du théâtre, n’a pas fini de faire parler de lui ! Après son entrée fracassante, par la grande porte, avec « Henri VI », le voilà programmé à l’Odéon où il met en scène un « Richard III » dont il incarne lui-même le rôle-titre. Bluffant !...
L'Express - Blog
vendredi 22 janvier 2016
Par Laurence Liban
Richard III... Sa description seule ferait mourir de peur n'importe quel Quasimodo. Tordu, bossu, desséché, dératé, dentu à la naissance, bancal, pas voulu, pas aimé, pas aimable, pas fini. Expulsé avant terme comme une huître avariée et pire que ça....
Au poulallier
lundi 18 janvier 2016
Richard III en post-ado morbide
Par David Larre
Épilogue de son marathon shakespearien autour de la Guerre des Roses, Richard III offre à Thomas Jolly l’occasion de prolonger une geste artistique un rien mégalo, se distribuant le rôle-titre, et orchestrant dans un ballet glam-goth (qui doit autant à Star Wars qu’à Tim Burton ou à David Bowie) les règlements de compte fourbes et sanglants qui vont aboutir à la mise à mort du « lévrier de l’enfer ». La furia gothique ne manque pas de panache,...
LeJDD.fr
dimanche 17 janvier 2016
Par Patrice Trapier
Thomas Jolly est un jeune metteur en scène qui bouscule le théâtre par son sens du spectacle et ses références multiples (cinéma, séries télé, BD, rock…). Cette recherche de modernité n'exclut pas le sens du texte. Jolly a consacré cinq ans à monter la tétralogie du jeune William Shakespeare, Henri VI puis Richard III. Sa première partie de dix-huit heures...
PublikArt
samedi 16 janvier 2016
Richard III, la version gothique de Thomas Jolly
Par Amaury Jacquet
Thomas Jolly revient avec Richard III pour l’inscrire dans un dernier sursaut de noire politique où l’esthétique gothique accompagne la marche du mal....
L'express
samedi 16 janvier 2016
Par Igor Hansen-Love
C'est l'événement de cette rentrée théâtrale: la pièce de Shakespeare, mise en scène par Thomas Jolly. Efficace mais décevant....
Toute la Culture
vendredi 15 janvier 2016
L’impossible Richard III de Thomas Jolly
Par Christophe Candoni
C’est donc reparti pour un théâtre hyper vieillot et velléitaire où la nuance et la pensée ne sont malheureusement pas de mise. Tous les défauts, les clichés, les faiblesses, les outrances, observés dans l’interminable saga présentée notamment au Festival d’Avignon puis à l’Odéon réapparaissent dans ce dernier opus, mais en plus ostentatoires, comme maximalisés par le confort du succès et le contentement de soi....
Libération.fr
jeudi 14 janvier 2016
Par Philippe Lançon et Guillaume Tion
C’est dans la gorge de la mort que Thomas Jolly et la Piccola Familia achèvent le parcours du train fantôme shakespearien entamé en 2010 : la tétralogie de jeunesse Henry VI (trois parties) et Richard III. Cinq ans, vingt actes et vingt-trois heures de spectacle plus tard, voilà l’équipe autour du canasson mort, du roi mort, des amis, des traîtres, des parents et des enfants morts, presque tous morts, tous réunis comme au banquet final sur le cha...
Francetv info
jeudi 14 janvier 2016
Richard III, le drôle d'oiseau de proie
Par Sophie Jouve
Galvanisé par le succès de sa saga Shakespearienne Henry VI, Thomas Jolly n'a pas résisté à se lancer dans le dernier volet, Richard III, et à s'en attribuer le rôle-titre. Malgré des longueurs certaines (le spectacle dure plus de 4 heures), Jolly fait le job, insufflant même à ce spectacle une autre tonalité que dans le précédent, avec toujours ce même fourmillement d'idées....