: Présentation
La menace chez Pinter émerge des constellations familiales des personnages et de leurs états mentaux. Cette interprétation d’Une petite douleur lie ces deux types de menace.
Une journée qui commence, comme tous les jours, sans agitation ni communication. On ne peut que deviner que ce couple ne se rejoint plus dans sa conjugalité. Il s’est arrêté sur des banalités, de petites méchancetés, dans une vie sans effort, gorgée d’ennui et de prévisibilité. L’arrivée d’une guêpe fait voler en éclat cette routine. La dispute et l’excitation qu’elle provoque montrent, chez elle, le désir et chez lui, la peur face à l’inconnu qui s’introduit dans sa sphère privée, sécurisée. La guêpe est l’avant-coureur d’un deuxième intrus autrement plus dérangeant...
Ces fonctionnalités sont réservées aux abonnés
Déjà abonné,
Je me connecte
–
Voir un exemple
–
Je m'abonne
Ces documents sont à votre disposition pour un usage privé.
Si vous souhaitez utiliser des contenus, vous devez prendre contact avec la structure ou l'auteur qui a mis à disposition le document pour en vérifier les conditions d'utilisation.