Moi, K ?
Vous aussi, un jour, exclus d’un monde absurde ?
Peut-être.
Dans notre auberge-monde un travailleur arrive : K.
Plus beaucoup de place pour faire ripaille.
Alors K. tente de comprendre pourquoi « Le château » n’a plus besoin de lui.
Lutter, survivre, à tout prix.
Et puis vouloir aimer quand même, se faire aimer, toujours.
Soyons comme Kafka, lucides, amoureux, cyniques, mais surtout drôles, même si le rire, comme le théâtre, sont des armes dérisoires.
A travers un univers étrange, c’est donc bien la dimension illusoire et comique de notre propre monde qui est mise en question.

«Les situations insolites se multiplient, les images cocasses prolifèrent, les personnages extravagants défilent.
Bref, tout autant qu’une grande histoire contemporaine et cauchemardesque, c’est une formidable matière théâtrale.»
Paul Emond, auteur