: Présentation
Dans cet atelier de sculpture, le temps s’est visiblement arrêté quand une jeune femme entre avec toute la force d’un ouragan. Les mots pleuvent, les souvenirs éclatent au gré d’une mémoire fragmentée.
Au milieu des œuvres de son père, elle ressasse, convoque le passé, les réminiscences, les élucubrations. Elle donne corps et voix à ses absents. Elle invente aussi, elle comble les parts manquantes, ressuscite les sons fossiles et doucement, au creux de sa solitude, elle s'apaise.
La comédienne Amélie Lepeytre porte ce monologue zigzaguant, au milieu des marionnettes sculptures - manipulées à vue par Aurore Cailleret et Lolita Barozzi.
Le Liquidambar a imaginé une fable sur la transmission, sur ce que les absents nous laissent en héritage et sur les croisements poétiques entre voix, corps et marionnettes.
Ces fonctionnalités sont réservées aux abonnés
Déjà abonné,
Je me connecte
–
Voir un exemple
–
Je m'abonne
Ces documents sont à votre disposition pour un usage privé.
Si vous souhaitez utiliser des contenus, vous devez prendre contact avec la structure ou l'auteur qui a mis à disposition le document pour en vérifier les conditions d'utilisation.