Dans cette pièce campagnarde argentine, Laurent Brethome met en jeu sept comédiens qui proposent - en plein air - un spectacle allant de l’évocation onirique à la pulsion hystérique : les situations s’enchaînent à une vitesse folle, se jouant des oppositions entre campagne et ville, nature et culture.

Sous le masque de la farce, la pièce aborde la violence et le désespoir ; elle interroge le rapport à la vie et à la mort.

« Copi apparaît toujours actuel et son propos d’une efficacité mordante et grinçante lorsqu’il déboulonne dans une joyeuse sauvagerie les codes et les fondements de la bien-pensance. (…)
Dans ses pièces, sous les masques de la frénésie carnavalesque ou sous ceux d’élégants clowns tristes, c’est l’éternelle sarabande la mort, de la solitude, de la violence et de l’angoisse qui s’agite. »
Valérie Cadet
Le Magazine littéraire