lundi 26 janvier 2015
Ambiance Matrix.
Par Lou Villand
L’entrée en scène est cyberspaciale : deux femmes et un homme arrivent sur le plateau, manteaux noirs ceinturées, lunettes sombres vissées, cadence assurée, visages fermés. Ambiance Matrix. Ils sont prêts à bondir comme des chiens, à penser comme des hommes. Car, maintenant, on ne peut plus faire semblant, on a vu le dessous des cartes, on sait tout. On sait que la mort est partout, à la fois début et fin. On voit le cancer, la mère malade qu’il faudrait songer à abandonner dans la forêt, le chat décrépi qui demande un