Depuis toujours, deux motifs sont récurrents en art, en littérature plus particulièrement, et au théâtre. Les histoires d’amour se terminent soit par « Ils se marièrent, vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants », soit par une fin terrible, souvent représentée par une mort tragique d’un des amoureux. Le théâtre se nourrit des passions amoureuses déchirantes pour donner envie aux spectateurs/lecteurs, de vivre un amour passionnel inoubliable.

Mais une question se pose : Qu’en est-il des amoureux qui se déchirent sans en arriver à une mort certaine ? Qui sont ces êtres qui font face au rejet mais qui n’arrivent pas à s’en éloigner ?

Branlette s’intéresse à ces couples qui ne sont pas des couples. À ces amoureux qui n’arrivent pas à se le dire correctement. À ces personnes qui se déchirent espérant un jour nouveau.

Branlette étudie l’amour non partagé, non pas comme un sentiment apportant le malheur, mais comme un accès au réel bonheur.