: Présentation
A partir des textes : Le Chant des Chants, l’Ecclésiaste, « Murale » de Mahmoud Darwich, « Le livre de la pauvreté et de la mort » de Rainer Maria Rilke
Chacun porte en soi ce que l’humanité porte en elle. L’effroi s’est emparé de l’Occident lorsqu’il a découvert que la Terre n’était pas au centre de l’univers. Qu’elle n’était pas la favorite de Dieu, qu’elle n’était qu’une parcelle du système solaire. (F. Cheng, Cinq méditations sur la mort, Autrement dit sur la vie)
Une femme au seuil de la maturité questionne son propre corps. A quoi bon le labeur et la peine, les plaisirs et les honneurs, si tout cela est voué au dépérissement et à la mort ? Toute chose sur terre est éphémère et pourtant le désir bouillonne de toute sa sève dans les veines.
Attends-moi à la porte de la mer est une ode fluide et puissante qui rappelle les hymnes éternels de l’Orient ancien, une symphonie à quatre voix traversée par les vibrations des poèmes les plus anciens de l’Humanité : « Qui de l’or, du Chant des chants ou de l’Ecclésiaste, illuminera ma vaste obscurité ? »
Le langage poétique seul est à même de porter la grande énigme de la vie, d’ouvrir le passage vers l’autre rive.
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