lundi 20 juillet 2015
Une course à l'abîme qui nous perd
Par Raphaël Baptiste
Ce spectacle fait vibrer l’espagnol et lui donne les relents d’une étreinte brisée. Le comédien plonge dans son être intérieur, dans une sorte de dépression difficilement définissable ; il se tortue dans tous les sens, en se débattant au milieu d’une lumière dont le mouvement vif empêche qu’on la saisisse et qu’elle illumine la scène d’un seul éclair.