Théâtre du blog
mercredi 08 mars 2017
Quel plaisir d’entendre à nouveau sonner la prose polyphonique
Par Mireille Davidovici
Quel plaisir d’entendre à nouveau sonner la prose polyphonique de ce vertigineux feuilleton théâtral. 350 pages,dix-huit heures de fables express donnent vie, par la parole, à un millier de personnages ! Les morts comme les vivants y envisagent le monde sous toutes ses coutures. «Tirer l’écriture dramatique hors de ses habitudes et y insérer...