Zoé est orpheline, abandonnée de tous, et le conte d’Andersen si prisé des enfants – Le Vilain Petit Canard – semble lui plaire. Aussi se jette-t-elle dans ce récit, les yeux fermés, et la voilà qui s’associe aussitôt à la destinée houleuse du caneton si controversé, Zoé se sent aspirée par une bourrasque dont elle ne se départit pas, saisie malgré elle.

Qui est-on réellement ? Jouons-nous des rôles pour se fondre dans la masse ou souhaitons-nous vivre pour l’être que nous sommes ? En revisitant Le vilain petit canard, Alexis Armengol livre une ode à la liberté d’être. Stimulant....

Un dispositif quadri-frontal, des « cow-boys » dans une improbable salle à manger vintage où l’on prépare visiblement un apéritif… où sommes-nous, de quoi s’agit-il, qui sont-ils ?

En revisitant Le vilain petit canard, Alexis Armengol livre une ode à la liberté d'être. Vilain ! est un conte d'une grande stimulation....

Le metteur en scène Alexis Armengol revisite le conte du Vilain Petit Canard. Une réflexion sur le rebond et la résilience : pour tout public à partir de 9 ans....

La neuvième édition du festival Ambivalence(s) proposée par le CDN de Valence fait la part belle aux jeunes compagnies qui tracent leur route loin des autoroutes polluées de la profession, dans des chemins de traverse où poussent des champignons à tête chercheuse....

Et si l'on revisitait ce conte traditionnel pour en faire un spectacle tout autant pour les grands que pour les petits ? Bienvenue alors dans l'univers fantaisie - baroque d'Alexis Armengol !

Dans un lieu “idéal”, la Chartreuse à Villeneuve-lès-Avignon, Alexis Armengol a créé Vilain !, un spectacle ambitieux et inventif inspiré “très librement” du fameux conte.....

Cette pièce, comme son titre le laisse entendre, s’inspirera très librement du conte d’Andersen et de 
l’ouvrage de Boris Cyrulnik consacré à la résilience, Les vilains petits canards. Le lien que j’établis entre
ces deux littératures est celui de la métamorphose.
Un des leviers de cette création sera un film d’animation, reprenant le conte d’Andersen, que nous […]...

C’est sur une colline divine que Marc Blanchet et Alexis Armengol nous invitent à grimper dans la nouvelle création du Théâtre à cru. Pas celle des Dieux olympiens, mais celle des dieux déchus. Ou comment, depuis le nul part de l’atelier du dieu du feu, réapprendre à faire société.